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English Letter

URGENT: Antibes Orcas Should Go to a Seaside Sanctuary

Dear Minister Béchu:

In solidarity with 42 organisations representing more than 14 million members, in more than 25 countries, I respectfully request that export permits under the Convention on International Trade in Endangered Species of Wild Fauna and Flora (CITES) not be granted to transfer two captive orcas from Marineland Antibes to captive display facilities in Japan, China, or other countries.

Doing so would not be in the best interest of these orcas. The two are members of a single family, and if sent to another park they may be split up and sent to different captive facilities. They would be subjected to the stresses of losing their family members, being confined to even smaller concrete tanks, doing tricks for entertainment, and likely be used in breeding programs, producing genetic hybrids with no conservation value.

The recent death of the orca Inouk at Marineland Antibes emphasizes the need for retiring the two remaining orcas, Wikie and Keijo (Wikie’s son), to a seaside sanctuary instead of another concrete tank.

There is an alternative. These orcas can be safely relocated to a seaside sanctuary where they can remain together. They’d live in a far larger and more enriched environment and still be under the care of professionals. This outcome satisfies the spirit and intent of the French law to end the keeping of wild animals in zoos, circuses, and dolphinariums. Transfer to a seaside sanctuary should take place as soon as possible.

There have been momentous changes in public attitudes around the world regarding keeping orcas in concrete tanks. The United States, Canada, the Russian Federation, and the Republic of Korea have all taken steps to ban the breeding of orcas (and, in some cases, other cetacean species), end captures, and stop importation of live orcas. The Moscow Aquarium recently announced they would no longer seek captive orcas, as two died in their care last year, and they have come to the conclusion that orcas do not belong in captivity. Keeping of orcas in concrete tanks is being phased out around the world.

The future of these three captive orcas now hangs in the balance, and a decision of where the orcas go will be decided soon.

I strongly urge you to support the transfer of the three orcas at Marineland Antibes to a natural seaside sanctuary, where the orcas would thrive and live much healthier and more fulfilled lives, their family bonds intact.

Respectfully,

Lettre Française

URGENT : Les orques d’Antibes doivent aller dans un sanctuaire marin

Monsieur le Ministre,

En solidarité avec 42 organisations représentant plus de 14 millions de membres, dans plus de 25 pays, je demande respectueusement, en vertu de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES), que les permis d’exportation pour expédier les deux dernières orques captives du Marineland d’Antibes dans des delphinariums (que ce soit au Japon, en Chine ou dans quelque autre pays du monde), ne soient pas accordés.

Une telle initiative irait à l’encontre de l’intérêt de ces orques. Elles appartiennent à la même famille, et si on les déplace dans un autre parc marin, il est possible qu’elles soient séparées et envoyées dans des établissements différents. Elles subiront le stress d’avoir perdu les membres de leur famille, d’être enfermées dans des bassins en béton encore plus petits, de faire des tours pour divertir, sans compter qu’elles seront sans doute exploitées à des fins reproductives, engendrant des hybrides génétiques sans aucune valeur de conservation.

La mort récente d’Inouk au Marineland d’Antibes, qui fait suite à celle de Moana en octobre 2023, souligne la nécessité de placer les deux orques survivantes, Wikie et son fils Keijo, dans un sanctuaire marin plutôt que dans un autre bassin en béton.

Car une alternative existe. Wikie et Keijo peuvent être transférés en toute sécurité dans un sanctuaire marin où ils pourront rester ensemble. Ils évolueraient ainsi dans un environnement beaucoup plus vaste, beaucoup plus riche, tout en demeurant sous la surveillance attentive de professionnels. Cette solution satisfait à l’esprit et à l’intention de la loi française visant à mettre fin à la détention d’animaux sauvages dans les zoos, cirques et delphinariums. Le transfert de Wikie et Keijo dans un sanctuaire marin doit avoir lieu dans les plus brefs délais.

Dans le monde entier, l’attitude du public concernant le fait de détenir des orques en captivité a considérablement évolué. Les États-Unis, le Canada, la Russie et la Corée du Sud ont tous pris des mesures pour interdire la reproduction en captivité de ces animaux (ainsi que celui d’autres espèces de cétacés dans certains cas), mettre fin aux captures dans la nature et stopper l’importation d’orques vivantes. Le Moskvarium de Moscou a annoncé récemment qu’il mettait un terme à sa quête d’orques pour la captivité : deux d’entre elles étant mortes entre ses murs l’année dernière, il est parvenu à la conclusion que ces animaux ne sont pas faits pour être emprisonnés. Détenir des orques dans des bassins en béton est progressivement abandonné partout dans le monde.

L’avenir des deux dernières orques survivantes du Marineland d’Antibes est désormais en jeu, et la décision quant à leur destination doit être bientôt prise.

Je vous exhorte de toutes mes forces à soutenir leur transfert vers un sanctuaire marin, où elles auront la chance de s’épanouir et de connaître une existence beaucoup plus heureuse et plus saine, qui leur permettra de conserver intacts leurs liens familiaux de mère et de fils.

Dans cet espoir, je vous demande d'accepter, Monsieur le Ministre, l’expression de notre haute considération.

STEP 2: MAIL IT TO THE MINISTER | ENVOYEZ-LE AU MINISTRE

Monsieur Christophe Béchu

Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires

Hôtel de Roquelaure

246, Boulevard Saint-Germain

75007 Paris